« Quand on travaille pour moins de 1 300 € net mensuels avec des rythmes impossibles, que l’on est augmenté de 0,05 € de l’heure après deux ans d’ancienneté, que l’on attend toujours la revalorisation du Ségur.. »
Pendant l’examen du projet de loi qui finance notamment les métiers du lien, j’ai tenu à rappeler mon soutien aux personnes – des femmes le plus souvent – dédiées à leur mission en dépit de conditions de travail difficiles.
Elles ne peuvent plus attendre, et c’est le cas des salariées de l’entreprise Domidom à Caen qui se battent pour leurs salaires. Je souhaitais porter leur voix dans l’hémicycle.