Pendant l’examen du projet de loi pouvoir d’achat, deux grandes catégories sont absentes du texte : les femmes et les étudiants.
J’ai défendu une proposition en faveur du pouvoir d’achat des étudiant-e-s : pas d’augmentation possible du loyer pour un bail consenti à un étudiant, après que la majorité ait refusé un gel général de l’indice de revalorisation des loyers.
Cette mesure qui me semblait plutôt consensuelle alors que les étudiant-e-s sont les premiers à subir la crise. Encore rejeté par les députés En Marche.
La majorité présidentielle a donc préféré permettre l’augmentation de 3,5% des loyers soit 300€ en moyenne. Je le regrette.