Retour sur l’examen cette semaine en commission des Affaires sociales du projet de loi relatif au pouvoir d’achat.
Ce texte finalement représente une confrontation de plusieurs visions de notre société.
D’un côté, le Gouvernement, qui sous-revalorise les pensions et les minimas sociaux et facilite l’attribution de primes défiscalisées, laissées au bon vouloir des patrons et de l’autre côté la gauche, la #NUPES qui défend l’augmentation globale des salaires, la revalorisation adaptée à l’inflation et le financement de ses mesures par une taxe sur les super profits des énergéticiens.
Inlassablement, j’ai rappelé à la majorité qu’en revalorisant à un niveau (4%) inférieur à l’inflation (5,8% en juin), ce texte n’est pas celui du pouvoir d’achat mais de la perte du pouvoir d’achat