Les 50 ans du programme commun

Le programme commun célèbre ses 50 ans !

Le 27 juin 1972, le Parti socialiste emmené par le volontarisme de François Mitterrand, les communistes et les radicaux de gauche se réunissaient pour présenter plusieurs mesures : salaires, retraites, lutte contre la pollution de l’air et de l’eau, gratuité des études…

50 ans plus tard, la NUPES réitère cette alliance des forces de gauche avec le Parti socialiste, le Parti communiste, Europe écologie les verts, la France insoumise et présente elle aussi des mesures pour améliorer le pouvoir de vivre, pour la justice climatique.

Plus qu’un symbole, 50 ans après, nous, députés de différentes sensibilités de gauche nous réunirons demain pour préparer nos combats, pour aujourd’hui et pour après !

A consulter également

  • Légiférer sur les algorithmes : entretien

    Cet entretien, a été réalisé pour le Journal Spécial des Sociétés le 4 août 2025. À retrouver en intégralité sur leur site internet. INTERVIEW. Alors que la commission d’enquête parlementaire sur la plateforme chinoise touche à sa fin, son président livre au JSS un bilan sans détour. Santé mentale en danger, fonctionnement obscur de l’algorithme et tensions avec…

  • Hébergement d’urgence : on ne peut pas fermer un gymnase… sans solution !

    Hébergement d’urgence : on ne peut pas fermer un gymnase… sans solution !

    Depuis l’incendie du squat de la Demi-Lune à Caen, des dizaines de personnes – hommes, femmes, enfants – sont temporairement mises à l’abri dans un gymnase municipal. Elles ne rentrent pas dans les cases de l’hébergement d’urgence classique, mais elles ont besoin, comme tout le monde, d’un toit et de dignité. Aujourd’hui, on apprend que…

  • Annonces budgétaires de François Bayrou : une provocation !

    Annonces budgétaires de François Bayrou : une provocation !

    Année blanche, suppression de jours fériés, économies sur les fauteuils roulants des personnes mourantes, non-remplacement de fonctionnaires.. Les pistes du gouvernement pour faire des économies vont encore concerner les plus modestes, c’est inadmissible. Pendant ce temps, rien sur les plus riches ou le capital.