Ciné-débat avec Lucie Castets au Café des images

Enseignement supérieur et recherche, environnement ou culture : nombreux sont les secteurs ayant été sujets, ces dernières semaines, à des annonces de nouvelles coupes budgétaires, sans aucun débat démocratique.

Dans son essai sorti cette semaine Où sont passés nos milliards, Lucie Castets s’oppose à ce fatalisme budgétaire. Baisse volontaire des recettes de l’État, explosion des aides publiques aux entreprises peu évaluées, destruction de nos services publics… Ce mouvement n’est pas inéluctable !

Lucie Castets sera présente mercredi prochain à 20h pour un ciné-débat sur les services publics au café des images à Hérouville-Saint-Clair que j’aurai le plaisir d’animer, après une séance de dédicace au Brouillon de culture.

A consulter également

  • Retour sur les 30 ans de l’association Habitat et Humanisme

    Retour sur les 30 ans de l’association Habitat et Humanisme

    Ce samedi, à l’occasion des 30 ans de l’association Habitat et Humanisme j’ai pu rencontrer les bénévoles ainsi que les locataires et résidents.  L’association, présidée dans le Calvados par Monsieur Xavier Onraed, œuvre sans relâche contre les différentes formes de précarité en proposant des logements, assure un accompagnement adapté pour toutes les personnes bénéficiaires et…

  • Inauguration de la plaque de commémoration des résistants inconnus de Saint-Pierre-du-Jonquet

    Inauguration de la plaque de commémoration des résistants inconnus de Saint-Pierre-du-Jonquet

    Entre septembre et novembre 1944, les corps de 28 hommes fusillés ont été découvert à Saint-Pierre-du-Jonquet, des résistants lâchement torturés et jetés dans un trou de bombe, victime de la barbarie nazie.  À l’occasion de cette cérémonie, en présence de Monsieur Didier Lemonnier, Maire de Saint-Pierre-du-Jonquet, de Madame Chistine Le Callonec, Présidente de l’association « Un…

  • TRIBUNE – Migrants : Le gouvernement doit faire la lumière sur les pratiques à l’oeuvre à la frontière Branco-britanique

    TRIBUNE – Migrants : Le gouvernement doit faire la lumière sur les pratiques à l’oeuvre à la frontière Branco-britanique

    Il faut venir à Calais pour s’en rendre compte. Murs, barbelés, grillages, blocs de béton ont remplacé les terrains forestiers dans cette ville où la pauvreté sévit durement et où les habitants vivent dans une prison à ciel ouvert. Bienvenue en absurdie, où l’arsenal répressif est poussé à l’extrême pour décourager les personnes en situation…