J’étais présent ce dimanche à Saint-Pierre-du-Jonquet. Vingt-huit hommes ont été massacrés par la Gestapo le 9 juillet 1944.
On a voulu les faire disparaître. La mémoire demeure, grâce au travail des historiens, des bénévoles et des familles.
Être présent chaque année, c’est refuser l’indifférence. C’est rappeler que la liberté recule quand on cesse de la défendre.
Face à la barbarie, nos valeurs humanistes restent notre meilleur rempart.




